Les Roches de Borée sont comme un ensemble de dômes phonolitiques déchaussés par l’érosion. Pareilles aux sucs alentours (le rocher des Pialoux, le Gouleïou, le suc de Touron), elles témoignent d’un volcanisme où les cratères restent invisibles.
Le suc volcanique du Gouléïou tient son nom du site particulier qu'il occupe. " Gouléïou " vient en effet de " goulet ", c'est à dire " col ". Il s'agit d'un relief formé de phonolite, roche volcanique claire enrichie en silice.
Ce sont des exemples type d’aiguilles de lave visqueuse qui se sont mises en place presque à l’état solide. Ici pas de cratères mais des formes massives dans le paysage. Table d’interprétation entre les deux roches.
Ce maar est un superbe exemple d'une activité volcanique phréatomagmatique. Le fonctionnement se caractérise par une intense activité explosive provoquée par la rencontre du magma chaud en cours d'ascension avec les eaux infiltrées depuis la surface.
La température de la source est de 53° elle se situe au centre du village. L’origine n’est pas volcanique. Il s’agit d’une eau de surface qui s’est infiltrée le long de grandes failles. En profondeur, elle s’est réchauffée et s'est chargée en minéraux.
Les Gorges sont une merveille naturelle. Au pied de la Tour de Borne, venez plonger dans des piscines naturelles, sauvages et préservées, cascades et points de vue à couper le souffle. Paradis des pécheurs, amateurs de truite. Baignade non surveillée.
La tourbière de Sagne Redonde occupe le fond du cratère d'un ancien volcan crée il y a environ 2 millions d'années. Elle contribue à la préservation de la ressources en eau. Sur le site, une plaque explicative vous donnera plus d'indications.
Le Rocher des Pradoux correspond géologiquement à une barre rocheuse phonolitique, volcanique isolée.
" Les Coux ", toponyme usité par l’IGN, s’appelle en réalité le Suc de " Leckous ", on connaît également ce volcan sous le nom, d’origine celtique, de " Lech’ous ". Le suc de Leckous est un plateau en forme de croissant de Lune.
Le suc de Montat est situé sur la ligne du partage des eaux entre Atlantique et Méditerranée. Afin de rendre visible cette dernière des mires ont été installées par le parc naturel régional des Monts d'Ardèche, jouant sur la perception et l'optique.
