
Construite en 1885 en remplacement d’une plus ancienne (1770). Confession Catholique.

La ferme de Clastre tire son nom de » cloître « . En effet, il s’agissait à l’origine d’un bâtiment prévu pour héberger les moines de l’abbaye du Monastier. Ils s’occupaient de l’encadrement des fidèles de la paroisse de Sainte-Eulalie au Moyen-Age.

L’église de Saint Alban en montagne, avec son clocher peigne, date des années 1880.

Eglise du XVe, remaniée, reconstruite au XIXe siècle. Architecture à découvrir : damier en roches volcaniques et façade polychrome : tuf jaune, granit, trachyte et scorie rouge. Statue de la Vierge noire du Genestoux, placée au-dessus de l’autel central.

En s’enfonçant dans les bois d’Issanlas, vous arriverez à la Chapelle Saint-Clair dont les eaux de la fontaine guériraient les maladies des yeux.

Une première construction légère est érigée en 1774 pour servir d’église « succursale ». L’église actuelle est édifiée en 1875. Elle est de style néo roman.

Le clocher de tourmente du Mas de Truc permettait autrefois aux voyageurs de s’orienter dans la burle ou la tourmente, noms que l’on donne localement au blizzard.

A travers ce circuit thématique, nous vous invitons à découvrir et observer le patrimoine architectural du village, tel que les constructions traditionnelles en roche volcanique, qui témoignent de la géologie des lieux.

L’église Saint-Martin ne conserve de l’époque romane que son très beau portail sculpté, classé. Elle garde une grande part de mystère car son histoire reste méconnue.

La pierre de Chazornes, située sur la commune de la Chapelle-Graillouse, est considérée comme une curiosité car elle on dit qu’elle est « magnétique ».

Le barrage de la Grange sur la Veyradèyre alimente une prise d’eau vers le lac d’Issarlès. Il mesure 12.5 mètres de hauteur, 45 mètres de longueur. Il a été mis en eau en 1954. Pêche à la truite.

L’église de Lachapelle-Graillouse a été construite au XIe siècle. Classée au répertoire des monuments historiques, elle se nomme « Notre-Dame de l’Assomption ».

Un nouveau lieu d’animation culturelle du Massif. Sur place : cycle de conférences.

La commune a été détachée de Borée et érigée en commune indépendante en 1856. Le village, au pied du Mézenc, est à découvrir pour son architecture et tout particulièrement ses toits de lauzes, dont celui de l’Eglise.

La Loire reçoit les eaux de la Veyradeyre sous le village du Lac d’Issarlès et file ensuite sous les arches du pont de la Borie.

L’église du village du Lac d’Issarlès est située sur la place du village. C’est une église romano-gothique du XIe s avec un porche flanqué de deux tours.

Le barrage de La Palisse est un réservoir de régulation pour l’usine hydro-électrique de Montpezat. Il mesure 56 mètres de profondeur, 195 mètres de longueur, entre 1,50 et 5,70 mètres de largeur. Espace de jeux, aire de camping-car et accès pêche.

Placée au dessus de l’autel principal, la vierge noire est souvent représentée avec une couronne et a tenu une place importante dans la spiritualité chrétienne, protectrice des chevaliers du temple et des chevaliers teutoniques.

Sainte Abeille a une double origine : il y avait sur ce site un édifice dédié à un Dieu Gaulois appelé Abelio. La christianisation du site a probablement été effectuée au début du Moyen-Age et ce jusqu’au milieu du XIXème siècle.

Les origines de cette petite chapelle restent mystérieuses. Son style est d’inspiration romane du Xe ou XIe siècle. Consacrée à Notre Dame des Pitiées, quelques cierges brûlent toujours.

L’église Saint-Jean-Baptiste de Lavillatte était le siège d’une commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.

La première mention connue de cette église romane classée date du XIe siècle, époque où elle a été cédée par les seigneurs Ithier de Solignac et Pons de Jaujac. L’abbaye en fit un petit prieuré qu’elle conserva jusqu’à la Révolution.

L’église St Michel date de la fin du XIXè siècle. Le clocher peigne à arcature est caractéristique des églises de la montagne. Le premier prêtre fut l’abbé Paveyrane.

Tunnel routier long de 3 336 mètres; il a initialement été construit pour permettre le passage des trains de la ligne « Transcévenole ».

Le Roux, accroché au flanc sud du Massif Central est une commune propice à la randonnée pédestre. Le réseau de chemins et voies romaines entièrement balisé offre de nombreuses possibilités de balades vers le plateau ou la vallée.

La magnifique église possède une partie du XIe siècle, elle a été restaurée avec le concours des paroissiens.

Le barrage du Gage, situé sur la commune du Cros-de-Géorand, sert de réservoir de régulation pour l’usine hydro-électrique de Montpezat. Il mesure 39.6 mètres de hauteur,172 mètres de longueur, entre 1,50 mètres et 5,60 mètres de largeur. Pêche autorisée.

Œuvre contemporaine de Fabienne et Serge Boÿer : sculpteurs Glypheins. 70 pierres gravées de symboles, de mythes du pays des Boutières, d’allégorie. C’est une œuvre ésotérique, alchimique, poétique, philosophique, de contemplation, lieu de ressourcement.