L’église de Lachapelle-Graillouse a été construite au XIe siècle. Classée au répertoire des monuments historiques, elle se nomme « Notre-Dame de l’Assomption ».
L’église St Michel date de la fin du XIXè siècle. Le clocher peigne à arcature est caractéristique des églises de la montagne. Le premier prêtre fut l’abbé Paveyrane.
La première victime officielle de la Bête fut Jeanne Boulet, jeune fille âgée de quatorze ans, tuée le 30 juin 1764, au village des Hubacs dans la paroisse de Saint-Étienne-de-Lugdarès.
L’église du village du Lac d’Issarlès est située sur la place du village. C’est une église romano-gothique du XIe s avec un porche flanqué de deux tours.
Venez découvrir les noms et usages vernaculaires des plantes locales, ainsi que les emplois cosmétiques et médicinaux des cueillettes traditionnelles dans ce jardin particulier.
Construite en 1885 en remplacement d’une plus ancienne (1770). Confession Catholique.
Eglise fondée au XV° siècle par J. Cazalet, un enfant du pays devenu abbé de Sénanque, dans le Vaucluse. Fortement remaniée au XIX° siècle, elle possède de superbes vitraux modernes, une magnifique statue de la Vierge ainsi qu’une cloche du XVII° siècle.
Une première construction légère est érigée en 1774 pour servir d’église « succursale ». L’église actuelle est édifiée en 1875. Elle est de style néo roman.
Tour impressionnante accrochée à son rocher en dessous du village et au dessus des splendides gorges de la rivière.
Cette tour a été rénovée mais on ne peut la visiter à cause de chutes éventuelles de pierres !
La Loire reçoit les eaux de la Veyradeyre sous le village du Lac d’Issarlès et file ensuite sous les arches du pont de la Borie.
Le barrage de La Palisse est un réservoir de régulation pour l’usine hydro-électrique de Montpezat. Il mesure 56 mètres de profondeur, 195 mètres de longueur, entre 1,50 et 5,70 mètres de largeur. Espace de jeux, aire de camping-car et accès pêche.
Le barrage de la Grange sur la Veyradèyre alimente une prise d’eau vers le lac d’Issarlès. Il mesure 12.5 mètres de hauteur, 45 mètres de longueur. Il a été mis en eau en 1954. Pêche à la truite.
Le Roux, accroché au flanc sud du Massif Central est une commune propice à la randonnée pédestre. Le réseau de chemins et voies romaines entièrement balisé offre de nombreuses possibilités de balades vers le plateau ou la vallée.
La ferme de Clastre tire son nom de » cloître « . En effet, il s’agissait à l’origine d’un bâtiment prévu pour héberger les moines de l’abbaye du Monastier. Ils s’occupaient de l’encadrement des fidèles de la paroisse de Sainte-Eulalie au Moyen-Age.
Vestige de l’abbaye cistercienne du XII° siècle (cloître roman, abbatiale, bâtiments des convers, tour carrée, réfectoire… dans un cadre bucolique). Eglise néo-romane avec de superbes vitraux contemporains de Louis-René Petit.
Tunnel routier long de 3 336 mètres; il a initialement été construit pour permettre le passage des trains de la ligne « Transcévenole ».
Le clocher de tourmente du Mas de Truc permettait autrefois aux voyageurs de s’orienter dans la burle ou la tourmente, noms que l’on donne localement au blizzard.
La première mention connue de cette église romane classée date du XIe siècle, époque où elle a été cédée par les seigneurs Ithier de Solignac et Pons de Jaujac. L’abbaye en fit un petit prieuré qu’elle conserva jusqu’à la Révolution.
L’église de Saint Alban en montagne, avec son clocher peigne, date des années 1880.
A travers ce circuit thématique, nous vous invitons à découvrir et observer le patrimoine architectural du village, tel que les constructions traditionnelles en roche volcanique, qui témoignent de la géologie des lieux.
L’église Saint-Jean-Baptiste de Lavillatte était le siège d’une commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem.
Sainte Abeille a une double origine : il y avait sur ce site un édifice dédié à un Dieu Gaulois appelé Abelio. La christianisation du site a probablement été effectuée au début du Moyen-Age et ce jusqu’au milieu du XIXème siècle.
Les origines de cette petite chapelle restent mystérieuses. Son style est d’inspiration romane du Xe ou XIe siècle. Consacrée à Notre Dame des Pitiées, quelques cierges brûlent toujours.
La magnifique église possède une partie du XIe siècle, elle a été restaurée avec le concours des paroissiens.
En s’enfonçant dans les bois d’Issanlas, vous arriverez à la Chapelle Saint-Clair dont les eaux de la fontaine guériraient les maladies des yeux.
L’église Saint-Martin ne conserve de l’époque romane que son très beau portail sculpté, classé. Elle garde une grande part de mystère car son histoire reste méconnue.
Village en pierre niché au fond d’une vallée ensoleillée. La rue principale passe devant l’église Saint Sylvestre, connue pour abriter la pierre de Sainte Abeille, une pierre à cupule (avec un trou) qui guérirait les bourdonnements d’oreille.
Un nouveau lieu d’animation culturelle du Massif. Sur place : cycle de conférences.
La Chartreuse de Bonnefoy fut fondée en 1156 sur une terre donnée par Guillaume de Fay, dit « Jourdain », seigneur du Mézenc. L’ordre des Chartreux choisit ce site isolé pour fonder l’un de ses établissements monastiques. Visites guidées proposées l’été.
Eglise surnommée « la cathédrale de la montagne » en raison de ses dimensions imposantes. Il s’agit d’une église de style gothique. Elle abrite le maître-autel de l’Abbaye des Chambons.
La pierre de Chazornes, située sur la commune de la Chapelle-Graillouse, est considérée comme une curiosité car elle on dit qu’elle est « magnétique ».